La 3e édition du Black Novena Tattoo Festival était éblouissante, réunissant une quarantaine de tatoueurs à travers toute l’Europe, dans le cadre historique du Cellier de Clairvaux
J’ai eu le plaisir de couvrir la première journée du Black Novena Tattoo Festival à Dijon. L’organisatrice multi-casquettes de l’événement Verena Lerouge a gentillement accepté de m’accréditer. J’ai suivi la visite officielle de deux élues dijonnaises venues découvrir l’ambiance et les talents réunis pour cette 3e édition : l’adjointe à la culture Christine Martin et l’adjointe en charge du commerce et de l’artisanat Nadjoua Belhadef.
Le Cellier de Clairvaux offrait un contraste saisissant, entre les voûtes médiévales du Cellier de Clairvaux et l’univers très contemporain du tatouage. Une quarantaine d’artistes venus de toute l’Europe s’étaient installés, enchaînant les sessions sur leurs tables. J’ai capté une scène particulièrement joyeuse : une tatoueuse souriante s’apprête à dessiner un motif sur le bras d’une jeune femme hilare, dans une ambiance détendue.
Plus loin, un stand de photographie m’a attiré : celui de Pierre Martial, spécialisé dans les procédés anciens. Ses portraits réalisés avec une chambre photographque offrent un rendu très particulier, presque mystique.
Enfin, les élues ont pris la parole en extérieur pour saluer le travail de Verena et toute son équipe. L’occasion pour moi d’immortaliser un moment fort : le rire communicatif de Christine Martin, micro en main, devant un public conquis.
Le Black Novena est plus qu’un salon du tatouage : c’est un événement culturel à part entière, où se croisent art, artisanat, musique et patrimoine.